Membres
titulaires : Régine Le Jan, Dominique Iogna-Prat,
Thomas Lienhard, Laurent Jégou, Stéphane Gioanni,
Agnès Graceffa
Membres
associés : Geneviève Bührer-Thierry (Marne-la-Vallée),
François Bougard (Paris Ouest-Nanterre), Philippe Depreux
(Limoges), Sylvie Joye (Reims), Josiane Barbier (Paris Ouest-Nanterre),
Cristina La Rocca (Padoue), Stefano Gasparri (Venise), Steffen
Patzold (Tübingen), Hans Werner Goetz (Hambourg), Marcelo
Candido da Silva (Sao Paulo), Rosamond McKitterick (Cambridge)
Doctorants
: Laurence Leleu, Gaelle Calvet, Claire Tignolet, Rodolphe
Keller, Zois Liarommatis, Martin Gravel, Pierre-André
Vigor, Geneviève Pidoux
L'équipe fédère les synergies individuelles.
Elle s'insère elle-même dans un réseau dont
elle est le pont d'ancrage. La structure en réseau confère
au programme une configuration originale qui se caractérise
par :
-
sa vocation européenne (France, Belgique, Italie, Allemagne,
Grande Bretagne) et extra-européenne (Brésil).
-l'association
des institutions qui s'engagent à soutenir et financer
le programme, à organiser rencontres et séminaires,
dans le cadre de leurs propres programmations.
Les
recherches en histoire du haut Moyen Âge ont été
complètement renouvelées par les travaux réalisés
depuis vingt ans dans le cadre de programmes européens,
à commencer par le programme Transformation of The Roman
World de l'European Science Foundation (1993-1998), Les Transferts
patrimoniaux en Europe occidentale (VIe-XIe siècle) (1999-2002),
associant des universités françaises (Lille 3
puis Paris 1 (Régine Le Jan), Valenciennes et Marne-La-Vallée
(Laurent Feller, Geneviève Bührer-Thierry), Padoue
(Cristina La Rocca), Venise (Stefano Gasparri), Hambourg (Hans
Werner Goetz) et l'Ecole française de Rome (François
Bougard). A l'issue du programme, un nouvel axe a été
lancé sur Les élites au haut Moyen Âge (2003-2009).
A la suite de l'élargissement de la thématique
et de la chronologie, le programme a rassemblé des chercheurs
appartenant aux institutions suivantes :
-l'université de Paris 1 (Régine Le Jan, Thomas
Lienhard, Stephane Gioanni, Laurent Jégou)
-l'université de Paris Ouest-Nanterre (François
Bougard, Bruno Dumézil, Josiane Barbier)
-L'Université de Limoges (Philippe Depreux)
-l'université de Marne-la-Vallée (Geneviève
Bührer-Thierry)
-l'université de Valenciennes (Emmanuelle Santinelli)
-l'université de Venise (Stefano Gasparri)
-l'université de Padoue (Cristina La Rocca)
-l'université libre de Bruxelles (Jean-Marie Sansterre,
Jean-Pierre Devroey)
-l'université de Hambourg (Hans Werner Goetz, Steffen
Patzold)
-l'université de Cambridge (Rosamond McKitterick)
-la Mission historique française en Allemagne (Thomas
Lienhard)
Le
principe retenu est triple :
-le
travail en réseau, à l'échelle internationale,
qui s'impose pour des recherches en haut Moyen Âge.
-l'association étroite des enseignants-chercheurs et
des jeunes chercheurs (jeunes docteurs et doctorants) qui sont
systématiquement sollicités pour les séminaires
de recherche et pour les rencontres annuelles, dans une proportion
qui n'est jamais inférieure à 50% des interventions.
Le séminaire annuel de Régine Le Jan à
Paris 1 s'articule sur le Master Histoire et Anthropologie des
sociétés médiévales et modernes
et sur l'Ecole Doctorale d'histoire de Paris 1. Les séminaires,
journées d'études et rencontres sont ainsi l'occasion
pour les jeunes chercheurs de présenter leurs travaux.
-la
publication rapide des actes des journées d'études
et des colloques : les actes des rencontres sont publiés
en ligne, sur le site du LAMOP, ou dans la collection Haut
Moyen Âge, dirigée par Régine Le Jan,
aux éditions Brepols.
|